Référencement de sites web par Googlebot

Référencement naturel : en première position sur Google !

En matière de référencement naturel, seul le travail paye.

 

 

LE CONSTAT :

C’est toujours surprenant de tomber sur une page que l’on a conçu, et qui se trouve en première position sur Google :

Avec la requête “hébergement franco-français patriot act”, l’une de nos pages web s’est retrouvée en première place des résultats de recherche chez Google, et même en première position si l’on exclut les résultats du référencement payant (sur fond jaune dans l’image ci-dessous).
Même résultat avec la requête “hébergement franco-français”.

Référencement en premiere page et première position sur google

De même, lorsque durant l’été 2012, en pleine croissance d’un site e-commerce de vente à l’International de photos du patrimoine français, nous avons constaté qu’une page sur la ville de Bordeaux créée la veille, c’est retrouvée le lendemain en 2ème ligne de la 1ère page de Google avec la requête “Monuments in Bordeaux quinconces square”.

Surprenant ? Pas tout à fait, car il est vrai que le référencement naturel dépend en grande partie du temps qu’on lui consacre. Et dans ce domaine, seul le travail paye.

A partir de là, on a presque tout dit. Presque ? Oui car il y a le bon et le mauvais travail. Mais attention ! Rien à voir avec une quelconque allusion politique…

Non, il ne s’agit pas de sans cesse remanipuler le contenu éditorial des pages web d’un site et d’envoyer des requêtes intempestives aux moteurs de recherche.

 

LE POINT SUR “LES” MOTEURS DE RECHERCHE :

Qu’entend-on par “les” moteurs de recherche ?

Ne soyons pas hypocrites : Actuellement, le moteur de recherche qui prédomine le marché est Google avec des taux de parts de marché de 70 à 90% voire 98% selon les pays, sauf en Russie et en Chine, ainsi que la Corée du Sud ou Taiwan.

En France ce taux avoisine les 90%. Une situation de quasi-monopole pour Google.

Et chez Google, les algorithmes qui permettent le classement, sont régulièrement reprogrammés en fonction des évolutions et tendances de “la toile”. De nos jours, pour être bien classé chez Google, il faut travailler essentiellement le contenu éditorial : Mots clés ciblés, leur popularité, leurs tendances (à la hausse, à la baisse), etc… Bien sûr, les liens avec des réseaux sociaux ne doivent pas être négligés. C’est le principe fondateur du réseau Internet…

 

DE LA RÉFLEXION…

Si les mots clés de la page en question ne sont pas adaptés*, cela ne sert à rien pour un résultat concluant. Car que cherche-t-on au final ?
Dans le domaine professionnel, c’est bien sûr des visiteurs, mais des visiteurs QUALIFIÉS. Dans l’idéal, des acheteurs plus que potentiels.
C’est quand même mieux d’avoir 9 acheteurs sur 10 visiteurs, plutôt que 2 acheteurs sur 1000 visiteurs. Et en plus, ça ne surcharge pas le serveur…

C’est bien là que se trouve le nœud du problème : identifier l’acheteur idéal, que cela soit en e-commerce ou sur des services en ligne. Savoir le type de requêtes qu’il va faire, afin de répondre à son besoin, c’est à dire placer dans les pages du site web, exactement ces requêtes. Cela parait simple…

Il faut donc se mettre à la place des acheteurs, penser comme eux, simuler les requêtes qu’ils sont susceptibles de faire auprès des moteurs de recherche, et ensuite élaborer les pages en fonction de ces mots clés, pour lesquels il existe d’ailleurs des statistiques d’utilisation sur internet, en fonction d’un domaine d’activité, d’un pays, ou d’une période.
On peut dire que ce sont toujours les mêmes règles commerciales : écouter le client… Car les outils techniques ne sont que des outils.

La partie technique ne suffit pas :

Mettre en place des fichiers nécessaires à la bonne accroche des moteurs de recherche, créer des comptes du type Google analytic, ou des comptes dans des réseaux sociaux afin de faire du lien vers son propre site… Tout ceci ne suffit pas pour que d’un seul coup de baguette magique, le nombre de visiteurs augmente exponentiellement.

Car en fait, il augmentera, mais uniquement sur la page d’accueil. Et c’est ce que l’on nomme le “Taux de rebond” : il mesure le taux de visiteurs qui repartent dès leur arrivée sur la page de garde. Mais c’est à nuancer, car sont-il insatisfait de cette page ? Ou bien ont-il trouvé sur celle-ci le renseignement recherché ? On peut même trouver une réponse dans les résumés des résultats de requête de Google…

 

…À LA MISE EN PRATIQUE

Le bon référencement pour pêcher des clients*Pour pêcher du poisson, il faut savoir avec quoi il s’alimente…

Prenons des mots très utilisés dans des requêtes, c’est à dire populaires. Attirer des visiteurs avec des mots clés très recherchés sur internet, mais qui ne correspondent pas au cœur de métier de son site web, c’est à coup sûr manquer sa cible. Un bon trafic, c’est un trafic de visiteurs satisfaits du site qu’il viennent de trouver.

Ensuite, pour convertir un prospect en acheteur, il faut le convaincre. Comme dans la réalité… Et pour convaincre, il faut argumenter. Ça c’est l’aspect lecture humaine des pages web.
Le côté moteur de recherche c’est le fait qu’en argumentant, on donne de la matière à Google et les autres en termes d’expressions. Et c’est là que l’on commence à faire monter son site web dans le classement… En fonction de certains mots clés bien sûr, mais adaptés à la cible clientèle.

 

QUELQUES EXEMPLES EN PREMIÈRE PAGE DE GOOGLE :

Selon les requêtes en fonction des milieux d’activité :
Captures d’écrans de la première page de Google.


separateur

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Nous proposons, non seulement l’optimisation de la structure du site web, mais également une stratégie de positionnement web d’ensemble, en synergie avec des pages de réseaux sociaux, avec un contenu éditorial optimisé pour le référencement.

 

 

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